Remarque : cette fois, pour bien répondre, il vaut mieux résumer l'explication donnée dans les réponses aux questions plutôt que de copier/coller, car les questions sur le texte et les questions du contrôle ne sont pas exactement les mêmes, et leurs réponses doivent être formulées de façon différente.

Questions à partir du texte 2 (récit), extrait du conte de Voltaire, Candide ou l’optimiste.

1       Qu’arrive-t-il à Candide dans ce texte ?

Candide est enrôlé (recruté) dans l'armée bulgare, sans qu'on le lui dise clairement à l'avance. (Cette réponse est un copier/coller de la réponse à la question 2.)

2       Comment fonctionne le comique dans ce texte ?

Le comique dans ce texte fonctionne de plusieurs manières différentes. On y trouve le comique de caractère : la naïveté de Candide est exagérée, caricaturale (comme par exemple l'avarice de Géronte dans les fourberies de Scapin), et le comique de situation, car sa naïveté met Candide dans des situations qu'il ne comprend pas, alors que le lecteur les comprend très bien. Enfin tout le texte est ironique : on voit bien que ce que Candide croit est faux, mais le narrateur l’écrit comme si c’était vrai. (Question 3)

3       De quel point de vue l’histoire est-elle racontée ? Prouvez-le.

L’action de ce texte est racontée du point de vue de Candide : le narrateur raconte ce qui se passe comme Candide le voit et le comprend. (Question 3)

4       À quoi servent l’ironie et ce choix de point de vue ?

Le point de vue choisi et l’ironie font ressortir la grande naïveté de Candide, qui croit, comme Pangloss le lui a enseigné, que tout va pour le mieux dans le monde et que les hommes sont bons. (Conclusion de la question 3)

5       À quoi correspond l’emploi des deux systèmes de temps dans ce texte ?

Le système ancré correspond au dialogue, le système coupé correspond au récit. (Question 5)

6       On trouve dans ce texte des emplois particuliers du présent de l’indicatif. Quelle est la valeur de ces présents ? Expliquez.

On trouve une fois le présent de vérité générale, mais surtout, dans toute la fin du texte, le présent de narration.